Christophe a reconduit sa soeur Caroline à l'aéroport pour qu'elle retourne à Londres auprès d'Alison, sa compagne d'études et colocataire. Les trois sont amants. De retour à son appartement, tout de suite Caroline téléphone chez ses parents pour parler à Christophe et elle lui passe aussi Alison Elle me passe Alison qui me fait alors une révélation, me poussant aussitôt à fermer le haut parleur du téléphone : -«My darling, me dit-elle d'une voix langoureuse, tu as bien fait de baiser Caroline tout à l'heure. Grâce à elle, j'ai encore le goût de ton sperme dans ma bouche !» À la suite de mon silence interloqué, elle ajoute : -"Et oui, comme je me languissais de ton foutre, c'est moi qui lui ai demandé de te laisser l'enfiler juste avant son départ, pour que je puisse la lécher dès qu'elle arriverait, ce que j'ai fait dans la voiture, dès que nous avons quitté l'aéroport. Tu sais. Caro a été un très bon récipient : ton sperme était encore bien chaud quand je l'ai goûtée ! Ooooh " -«Alison, qu'est-ce qui se passe ? L'interrompis-je en entendant cet étrange gémissement.» -«Oh, excuse-moi, my darling, ce n'est rien. C'est seulement ta salope de s ur qui vient de m'enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien !» Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Où s'arrêterait enfin leur délire sensuel ? À vrai dire, ces réflexions outrées sont un peu hypocrites de ma part : je participais en effet activement moi-même aux dépravations de ma s ur et de son amie et j'en tirais sans doute un plaisir égal, voire supérieur, au leur. Les deux garces eurent d'ailleurs une nouvelle preuve de ma bonne volonté pendant le séjour que je fis en Angleterre lors des vacances universitaires qui suivirent, au cours desquelles ma puissance virile fut encore une fois mise à rude épreuve ! Malgré le mauvais temps qui régnait en ce mois de février sur la Grande-Bretagne. Caroline était partie pour quelques jours au Pays de Galles avec Peter, un ami d'Alison, avec qui elle sortait depuis quelques semaines. C'était son premier flirt sérieux depuis qu'elle avait quitté la France et Alison m'apprit que ma s ur semblait très amoureuse. Je l'étais beaucoup moi-même et j'entrepris de le montrer à mon anglaise adorée pendant les premiers jours de mon séjour, au cours duquel nous eûmes donc la chance de nous retrouver seuls dans le petit studio. Dans le même temps, je découvrais à quel point celle-ci était merveilleusement vicieuse : elle acceptait avec enthousiasme toutes mes propositions et me surprenait même par ses propres initiatives, pour moi inédites. Ainsi. Alison était très habile à se servir de ses gros seins laiteux et elle me faisait particulièrement craquer quand, allongée sur le ventre, elle se glissait sur moi et me massait le dos de ses obus jumeaux aux pointes dressées, qui agaçaient délicieusement ma peau. De façon plus perverse, l'anglaise savait que ses nichons étaient idoines à accueillir une bite bien raide et avait découvert que cette manipulation déclenchait invariablement chez moi une éjaculation copieuse. Elle m'invitait donc fréquemment à me placer à cheval sur elle et à glisser ma queue entre ses deux globes qui, étroitement pressés l'un contre l'autre par leur propriétaire, formaient un merveilleux réceptacle, à l'intérieur duquel je faisais longuement coulisser mon membre. Cette position avait en outre l'incomparable avantage de me permettre d'envoyer les giclées brûlantes de ma jouissance sur le visage angélique de la superbe garce, que j'adorais contempler souillé de cette manière. Mais ce qui me troubla le plus au cours de mon séjour londonien fut sans aucun doute ce qui se déroula le deuxième soir de mon séjour, au cours duquel Alison me présenta d'un air mystérieux le godemichet qu'elle avait acheté, afin de compenser l'absence de ma bite. Caroline m'avait parlé de cette acquisition et tandis qu'en France je me branlais en pensant à mon anglaise chérie, des images de celle-ci baisée par ma s ur à l'aide de ce gode m'étaient apparues à plusieurs reprises. L'objet en question était une bonne imitation d'un phallus viril, doté d'attaches qui permettaient à une fille de se transformer momentanément en étalon. Alison ne put s'empêcher de le comparer au mien qui, heureusement pour mon amour-propre, l'emporta légèrement, en longueur comme en diamètre. Quoiqu'il en soit, mon amie avait parfaitement appris à maîtriser cette bite en caoutchouc, comme elle me le prouva en s'en pistonnant longuement la moule et le cul en alternance. À la vue de
MERCREDI 13 JANVIER 2010
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