Tout a commencé lors de ma rencontre avec Ingrid, par une belle soirée d'hiver. Une femme d'une quarantaine d'années, portant un boa de plumes et une longue robe de soie noire bordée de dentelle, m'approcha lors d'une fête de Noël organisée par mes patrons. - Salut beau gosse, tu me paies un verre, dit-elle d'une voix rauque mais sexy en m'abordant au bar. - En échange de quoi, lui répondis-je du tact au tact en l'observant plus minutieusement. Je me serais cru dans Pretty Woman tant cette poule correspondait au cliché de la parfaite racoleuse. Tous ses gestes étaient suaves et calculés pour produire un maximum d'effet, sa langue se promenait continuellement sur ses lèvres et elle croisait et décroisait les jambes fréquemment pour attirer mon attention sur cette partie de son anatomie délictueusement emprisonnée dans un bas-filet. Toutefois, je restai de marbre devant cette provocation érotique peu convaincante La bêcheuse éclata de rire en voyant ma réaction, songeant probablement à ce qu'elle allait bien pouvoir répliquer. Elle attendit que je me tourne vers elle et regarda autour de nous anxieusement. Elle entrouvrit alors légèrement les cuisses pour me dévoiler une belle grosse paire de couilles épilées, surmontées d'une toute petite queue. Mon membre se mit aussitôt à gonfler et à s'allonger, se manifestant bientôt à travers mon pantalon. - Combien exiges-tu, lui demandais-je en déglutissant. Je ne la quittais plus des yeux à présent. Elle approcha son banc du mien et passa une jambe entre les miennes. Ainsi, je pouvais la branler sous le comptoir et elle pouvait caresser ma queue en bougeant la jambe. - Pas ici, lui soufflais-je après l'avoir fait triquer Nous nous rendîmes dans un hôtel à l'issu d'une petite négociation concernant son salaire. Je la fis s'agenouiller sur le lit après avoir débusqué ses jolis nichons de son soutif et après avoir délogé son cul de sa minijupe. Elle avala mon membre en entier et aspira mes couilles jusqu'à ce qu'elles disparaissent toutes les deux dans sa bouche. - Allonge-toi sur le ventre, lui ordonnai-je ensuite. Je fouillai son anus de mes doigts et je lui mordis les fesses dans un élan de passion intense. Mon membre avait atteint son apogée et je ne me fis pas prier pour le lui planter entre les fesses. Elle émit alors un râle très rauque qui me fit presque éjaculer. Puis, tout à coup, la bêcheuse releva un peu son popotin et glissa une main sous son corps. Je vis alors sortir, d'entre ses cuisses serrées, une queue raide parfaitement bandée et des couilles dont la peau était distendue. Je me retirai un moment pour profiter de cette offrande sensuelle et je la branlai jusqu'à ce qu'un filet de sperme s'écoule entre mes doigts et sur les draps du lit. Durant son orgasme et l'instant précédant, elle avait levé les fesses au plus haut point. Sa tête reposait toujours sur l'oreiller, de côté, sa bouche entrouverte poussant des râles à chacune de mes pénétrations. Son cul était invitant et vachement dilaté quoique l'on y était encore bien à l'étroit. - Prends-moi à quatre patte maintenant, me souffla-t-elle en s'appuyant sur ses bras. Je vis sa musculature, assez proéminente, gonfler sous mes yeux. Je constatais plus que jamais sa carrure solide et ses faibles hanches mais je voyais également ses gros melons pendre et ballotter sous l'effet de la gravité. Sa robe était maculée de sperme car tout au long de cette petite entrée en matière, je m'étais amusé à la soulever pour découvrir son popotin affolant et à la redescendre pour mieux la relever ensuite, encore, et encore. Mais maintenant, elle me gênait, cette robe magnifique. Lorsque je le lui eus enlevée, je restai bouche-bée devant la demande inusitée que me fit la bêcheuse. - Pourquoi n'échangerions-nous pas les rôles maintenant que tu m'as besognée à souhait ? J'aimerais bien te faire goûter aux délices de la sodomie Et tu m'exciterais grave avec ma robe sur le dos Je ne savais que répondre, j'essayais de trouver une échappatoire. Pourtant ma tige était comme électrifiée depuis qu'elle m'avait proposée la chose. J'avais soudainement envie plus que tout au monde qu'elle me prenne à son tour. - Et ça, je le ferai gratuitement, ajouta-t-elle d'une toute petite voix rassurante Sans dire un mot, je me levai et pris la robe qu'elle avait déposée à mes pieds. Je l'enfilai devant le miroir de l'hôtel et me contemplai du regard en essayant d'ajuster tant bien que mal le
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LUNDI 9 FéVRIER 2015
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