Barbara et Marc m'avaient donné leur adresse à la suite d'une rencontre sur un service étudié pour un 3615 On s'est entendu parce que nous avions la même envie : faire l'amour à trois. Barbara avait envie que quelqu'un la regarde en train de faire l'amour avec Marc. Cela convient très bien à quelqu'un qui aime mater. Il préférait une fille mais, d'après ce qu'il m'a dit, il s'est laissé convaincre. Je ne savais pas, à ce moment, les arguments que Barbara avait pu employer. Je sonnai à leur porte. Barbara me fit entrer et m'invita à la suivre dans la salon où, assis sur la canapé. Marc regardait un film vidéo. Un peu tendus par la situation, nous nous saluâmes, sans nous nous serrer la main. Barbara me proposa une place sur le canapé, à côté de Marc. Ils ressemblaient à leur portrait, jeunes et d'un abord sympathique, même si la nouveauté de cette situation nous intimidait tous les trois. Marc remit le magnétoscope en marche. On voyait à l'écran un couloir, le leur, et la caméra décrivait les mouvements d'une personne qui suit, à même le sol, des vêtements féminins éparpillés. Après une robe noire, ce sont des dessous en dentelle fine qui apparurent. La caméra arriva dans la salle de bain et filmait Barbara sous la douche. La caméra suivait les mains qui savonnaient sa nuque et sa belle chevelure foncée, ensuite son dos et ses fesses, enfin ses jambes. Ses mains remontaient ensuite des chevilles vers les cuisses, et nous laissaient admirer le corps de Barbara, qui semblait se caresser plus que se savonner. Je commençai à me sentir très à l'étroit dans mon pantalon et mes mains ne savaient pas où se poser. J'étais tellement fasciné par le corps de Barbara que j'avais oublié où j'étais. Je fus très surpris lorsque je sentis une main se poser sur ma nuque. Barbara s'était installée à ma droite sans que je m'en aperçoive ! Elle approcha sa bouche de la mienne et nous échangeâmes un baiser délicieux. À ce moment, je la regardai et je constatai qu'elle portait la même robe que sur le film. Mon sexe commença à étouffer et Barbara pose une main dessus. Elle regarda son mari et lui dit : je crois que l'on peut commencer, il est prêt ! Elle libèra mon sexe et posa ma main dessus tout en me disant à l'oreille : - Regarde-nous maintenant, tu es là pour cela non ? Barbara s'installa alors entre les genoux de son mari et commença à défaire son pantalon. Je devinais l'érection de Marc, son boxer était tendu et Barbara le mordilla doucement. Elle sortit une belle queue et la lècha, en prenant le temps de l'humidifier avec la langue. Toute la verge devint luisante de salive et Barbara ne manqua pas une occasion de nous regarder, son mari et moi. Mon sexe raide était caressé par ma main qui entama une lente masturbation. Le spectacle de cette fellation me fascina. Marc semblait planer, il regarda son épouse avec des yeux pleins de gentillesse et de plaisir. Barbara revient vers ma bouche, ses lèvres blanchies par une liqueur particulière que je trouvai, à ma surprise, délicieuse. Elle m'embrassa à nouveau et me demanda de me placer derrière elle pour la caresser. Je relèvai alors sa robe et je me régalai du spectacle offert : une superbe croupe nue. Mes doigts confirmèrent mon sentiment : Barbara était aussi excitée que nous. Ses lèvres luisaient et mes doigts glissaient sans peine. Marc bandait fermement sous l'action de Barbara qui avait repris sa fellation. Elle le caressait à la base des testicules et sa verge disparaissait dans une bouche exquise. Je posai mon sexe à l'entrée de celui de Barbara et je me penchai sur son cou pour sentir son parfum envoûtant. Ses cheveux caressaient ma tête et je l'embrassais sur la nuque en me perdant dans sa chevelure. Je lui enlevai les bretelles de sa robe et libérai ses seins que je caressai. Ses tétons avaient durci et je bandais en elle. Je sentis une chaleur torride qui enveloppait mon sexe et je me battis contre moi-même pour ne pas jouir. Mais une de ses mains agrippa mes couilles et je ne pus me retenir. Nos sexes étaient inondés par mon sperme et je m'allongeai sur elle, la tête contre son visage. Elle suçait toujours Marc. Pour la première fois de mon existence je sentis une queue proche de moi. Elle
MARDI 1 NOVEMBRE 2011
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