Choisissez de préférence une soupente ou un appartement aménagé dans un ancien grenier et doté de vasistas judicieusement disposés dans les pentes du toit. Placez un lit ou un simple coussin juste sous le vasistas. Amenez maintenant un jeune homme aux yeux bandés, dénudez-le mais laissez-lui, à votre convenance, un bout de vêtement, le caleçon par exemple. Ordonnez-lui de s'agenouiller sur le lit, les bras levés, les mains jointes au-dessus de sa tête, comme pour une prière. Attachez-lui maintenant les poignets et liez-les à la barre. Oui, à cette barre sur laquelle il faut tirer pour ouvrir le vasistas. Dans le cas où des liens n'ont pas été prévus, vous les remplacerez avantageusement par des foulards, des cravates ou toute autre pièce d'étoffe souple. Proscrire les ceintures et autres accessoires qui pourraient blesser. La position doit laisser la liberté de bouger un peu les jambes et de se tourner si les mains n'ont pas été directement liées à la barre. La position ne doit pas être inconfortable, mais si elle doit être conservée un long moment, elle peut se révéler épuisante à la longue. Le jeune homme doit alors pouvoir soulager son corps en se retenant par les mains à la barre mais sans peser de tout son poids, sous peine d'ouvrir la fenêtre. Une punition doit être prévue en été pour l'ouverture inopinée du vasistas. En hiver, lorsque le thermomètre descend sous les 0°, la morsure du froid sur le corps nu pourra être jugé comme punition suffisante. En soi, le fait d'attacher le garçon n'est rien, lui bander les yeux non plus car au fond, il se doute bien de ce qui va arriver. La seule incertitude qu'il peut encore avoir se situe sur l'ordre des interventions et au niveau du «quand». Tout l'intérêt est donc de le faire attendre. Pour cela, abandonnez-le, sortez de la chambre, faites du bruit dans la pièce à côté pour qu'il se demande si vous êtes en train de fouiller dans le sac photo, dans le sac vidéo ou si vous êtes à la recherche d'un quelconque accessoire. Laissez-lui croire que vous allez le photographier, le filmer, lui infliger des choses qu'il a toujours refusées à quiconque mais qu'aujourd'hui, en vous suivant délibérément, en vous faisant confiance, il prend le risque de subir sans y être préparé. Faites du bruit, soignez la mise en scène, même si vous avez, depuis longtemps, mis la main sur ce que vous cherchiez. Par exemple, la bouteille d'huile d'amande douce que vous avez choisi pour être l'accessoire du jour. Badigeonnez amplement vos mains et entrez dans la chambre sans dire un mot pour y retrouver votre victime plus ou moins consentante. Enduisez petit à petit le corps de votre partenaire d'huile, ce qui vous permettra d'appuyer vos caresses car vos mains glisseront sans échauffer la peau. Les parties coquines et les fesses pourront ainsi être pétries plus fermement. Les mains doivent se faufiler partout, entre les fesses, sous les bras mais jamais sur le caleçon, sur le sexe ou la toison de votre partenaire. Tournez toujours autour de l'élastique, en ces endroits où la peau des cuisses est tendre et sensible. Le garçon, agacé par vos caresses furtives, doit commencer à se tordre pour tenter de faire entrer en contact son sexe avec vos mains. Au bout d'un certain temps, la position vous le permettant, allez vérifier, du bout des lèvres, l'état d'excitation du jeune homme. Si vous constatez que l'érection n'est pas assez vigoureuse, continuez les caresses jusqu'à obtenir l'état désiré. S'il est besoin, n'hésitez pas à souffler doucement sur le sexe à travers le tissu de façon à affoler encore plus votre victime. Dès que l'état d'excitation est jugé suffisant, la tête entre les jambes du garçon, bénéficiant d'une vue exceptionnelle sur son visage crispé et ses mains attachées, écartez le caleçon du bout des doigts et prodiguez-lui, d'une langue pointue, les quelques caresses qui suffiront à le faire jouir. Vous pourrez, dans cette position, infliger à votre jouvenceau d'autres jouissances, jusqu'à ce que ses bras faiblissent, se laissent aller et qu'il ne soit plus retenu que par les liens. Sans le détacher et sans lui ôter les quelques grammes de caleçon trempé qui le couvrent encore, fouillez ses reins de vos doigts trempés pour préparer l'assaut final, le prendre à genoux sur le lit, encore attaché, offert, et lui offrir une autre jouissance, le sexe planté entre ses reins, une main glissée sous le caleçon pour le branler énergiquement Voilà messieurs comment l'on fait souffrir les jeunes hommes qui
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VENDREDI 15 JUILLET 2011
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