En quittant Montréal. Jennie m'avait demandé : - Tiens, on pourrait passer chez ma copine Tina ? J'aimerais bien qu'elle vienne avec nous. Nous avions prévu de passer l'après-midi à la campagne, de préférence près d'un lac. Nous adorions tous les deux nous baigner, il faisait tellement chaud cet été Comme à son habitude. Jennie avait prévu la baignade : elle portait toujours une petite culotte noire quand nous allions nous baigner, et ce afin qu'on ne voit pas sa toison foncée à travers un tissu trop clair. Nous n'amenions jamais de maillot de bain, mais préférions nous baigner en sous-vêtements, ce qui, par ailleurs, nous permettait de profiter de la fraîcheur de l'eau encore plusieurs heures après notre baignade. Et donc, malgré que nous soyons déjà passé à l'acte ensemble, nous ne nous baignions jamais nus. Après avoir embarqué Tina, une petite brune frêle mais aux formes harmonieuses, nous nous dirigeâmes donc vers la région des lacs, où nous passerions l'après-midi. Je ne connaissais pas encore Tina, comme je n'étais arrivé au Québec que depuis deux semaines mais elle m'était sympathique, et puis, les amis de mes amis Vous connaissez l'adage. Une bonne heure de route nous amena près d'un charmant petit lac, au milieu d'une forêt non moins charmante. En sortant. Jennie et moi commençâmes à nous dévêtir, et, une fois que je fus en caleçon, je courus à l'eau, qui était très agréable. Je jetai un regard aux filles, qui tardaient à venir. Jennie était pour sa part prête à la baignade mais Tina semblait ne pas vouloir se déshabiller. Le but avoué de la promenade étant connu de nous tous, je ressortis du lac histoire d'aller aux nouvelles. - Tina hésite car elle porte une culotte blanche et elle a peur que l'eau la rende transparente, me dit Jennie. En effet, celle-ci avait maintenant enlevé son pantalon et déjà, sans être mouillée, la blancheur de sa petite culotte laissait deviner que son minou était tout poilu de noir. Entrevoyant une solution, je proposai à Jennie : - Allez, déshabille-toi, comme ça elle sera moins mal à l'aise si sa culotte devient transparente. Et puis, il n'y a personne dans le coin. - Oui, je te vois venir, toi. Tu vas en profiter, hein C'est d'accord, mais je veux voir ta bite alors. Et malgré cela. Jennie, pas farouche pour deux sous, ôta robe et sous-vêtements sans plus se faire prier. Je la suivis dans son mouvement et me retrouvai nu à mon tour. Tina resta dans la voiture pour se déshabiller et finit par en ressortir en soutien-gorge et petite culotte de coton tandis que nous étions déjà en train de nager. Elle resta sur la berge quelques instants, cherchant un encouragement pour se jeter à l'eau à son tour. Jennie se releva, affichant sa nudité complète et cela finit de convaincre Tina qui rentra pas à pas dans l'onde claire. Après une bonne vingtaine de minutes, je ressortis, remontant la petite plage en pente douce vers la pelouse. Les filles ne tardèrent pas à me suivre, et comme elle l'avait craint, la petite culotte de Tina ne cachait plus grand chose de son intimité et surtout de sa toison très foncée. La situation était très érotique et je devais réprimer une érection naissante, qui se serait vue au premier coup d'il, sans caleçon pour la masquer. Je crois que Jennie devina mon trouble, car elle enjoignit Tina à se débarrasser de ses sous-vêtements qui ne cachaient plus rien. Elle me connaissait bien, la garce Sans trop se faire prier, à mon grand étonnement. Tina nous fit découvrir ses seins pointus dont les mamelons étaient durcis par la fraîcheur de l'eau. La culotte descendit au long de ses cuisses, découvrant sa chatte bien poilue. Cette fois, je ne résistai pas et mon sexe se tendit irrémédiablement, attirant par la même occasion les sarcasmes de Jennie. - On dirait que tu aimes, ça, toi, hein ? - Ça commence à devenir intéressant, avouai-je. - Défense de la toucher. Tina est ma meilleure amie. Je me la réserve. N'étant pas certain d'avoir compris cette dernière allusion, je fus bien vite éclairé par ma copine qui se leva et alla s'étendre sur son amie, en bonne position pour un 69. Elles semblaient connaître ça mieux que personne et de petits gémissements ne tardèrent pas à se faire entendre, tandis que les deux femelles se léchaient leur gazon réciproque. Gémissements qui se firent de plus en plus sonores et qui, je dois l'avouer, n'arrangèrent rien à l'état de ma bite.
LUNDI 16 JANVIER 2006
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