Quand je suis entré pour la première fois chez Julien, mon amant actuel, j'étais déjà marié. Ma femme. Cynthia, avait une aventure et elle ne s'en cachait même plus. Satisfait pour l'instant de cet accord inconscient entre moi et la femme ayant partagé l'époque de ma vingtaine, j'étais maintenant prêt à vivre d'autres types d'expériences. J'avais pensé sérieusement à demander le divorce mais j'avais finalement vu dans cette situation l'occasion de vivre pleinement mes désirs tout en ayant une vie « normale ». Je n'avais jamais pu m'imaginer tenant la main d'un mec dans la rue et encore moins d'avoir un homme comme époux. C'est bien la raison pour laquelle Julien, marié et père, était le partenaire parfait. J'avais un bon travail, dans un milieu assez conservateur cependant, et je n'avais pas du tout envie de mettre mon poste en péril pour une histoire de cul. J'avais plutôt envie de me fourrer la tête dans un troufion poilu, je brûlais littéralement d'envie de sucer un sexe d'homme jusqu'à satiété. J'étais aussi tenté par une belle paire de couilles bien fournies en pilosité, que je pourrais stimuler de mille façons. J'ai eu mes premières pensées homosexuelles lors d'une journée à la plage en Allemagne, il y a une dizaine d'années. Je devais avoir 20 ans, maximum. Je me souviens avoir fixé mon regard sur tous ces corps masculins bronzés, huilés, crémés, musclés Un superbe surfeur m'avait remarqué et était venu m'aborder alors que je n'avais fait que me prélasser sur ma serviette toute la journée. Je peux encore voir et m'émerveiller de ce physique vallonné par une fine musculature. J'avais lentement levé les yeux en m'attardant à ses cuisses encore mouillées et très légèrement recouvertes de poils très pâles, à la bosse assez imposante que son maillot de bain moulait sans en aplatir le relief pour autant, à ce torse imberbe, à ces abdominaux saillants, à ces mamelons rosés, minuscules, mais bien érigés Je me souviens comme si c'était hier des détails qui m'avaient frappé et qui avaient éveillé ce désir primordial. Il s'appelait Mark, il était américain de naissance et il semblait vouloir flirter tout autant que moi. Dans mon souvenir, j'avais tout tenté pour ne pas lui démontrer d'intérêt et je m'étais fait violence pour ne pas le suivre chez lui. Au lieu de cela, j'avais discrètement retiré mon anneau de fiançailles. Je me suis donc retrouvé dans son grand lit bordé de draps blancs, la lumière du soleil filtrant au travers d'un mince rideau, également d'un blanc immaculé. Son petit appartement, disposé à la hauteur de la rue, bordait la plage où nous nous étions rencontrés. Des passants, s'ils s'y étaient attardés, auraient pu assister à mon dépucelage Ce qui me fait bien rire quand j'y repense aujourd'hui ! Je n'ai jamais connu d'amants tels que Mark par la suite. Il y a bien eu Bryan, un américain lui aussi, qui n'avait rien à envier aux top models. Il aurait très bien pu être la tête d'affiche d'une grande marque de parfum ou de sous-vêtements mais il avait plutôt opté pour bosser dans la finance. En discutant dans un bistro quelque part en Italie, nous avions découvert avec enchantement que plusieurs points communs nous unissaient. Il était marié et moi j'allais le faire quelques jours plus tard. Il aimait les hommes mais n'avait que très peu d'expérience. Il aimait sa femme mais il fantasmait tout de même sur les mecs. En fait, nous étions si semblables que nous aurions très bien pu être potes, amants et même amoureux. Or, après deux nuits torrides à l'hôtel, sans même avoir quitté notre chambre une seule fois, nous nous étions quittés définitivement. Lui, allait rejoindre son épouse, moi, je retournais en France pour mon mariage. J'étais si exalté par le week-end que je venais de passer, j'avais un si haut taux d'hormones dû à ce voyage, un désir si puissant et pressant de partager le lit d'un homme à nouveau Je n'ai donc pu me résoudre à être fidèle une fois pour toute et j'ai revu mon garçon d'honneur. N'ayant pas beaucoup d'amis proches en raison de ma nature vagabonde, - je ne pouvais rester en place - j'avais demandé à la meilleure amie de ma future épouse si son frère accepterait d'être mon garçon d'honneur Cette fois, c'était moi l'homme expérimenté et, le minet débutant, c'était l'autre. Nous étions donc étendu dans le lit d'une chambre d'hôtel que j'avais loué pour l'occasion et j'avais été le premier à agir. Au lieu
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DIMANCHE 16 SEPTEMBRE 2012
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